C'est un départ tragique dans la dignité. Le président de la FIFA Sepp Blatter se sacrifie sous le feu nourri des médias et des procureurs américains. La pression des accusations et des condamnations hâtives jusqu'ici infondées s'est faite trop forte. Une querelle juridique menace. Des sponsors ont pris peur. Les Américains ont tiré à boulets rouges. Pour la plupart des médias et pour des pans de l'opinion publique, les accusations tonitruantes du Département de la Justice des États-Unis équivalent à une sentence: Blatter est «corrompu», martelait Der Spiegel, et un mafieux au même titre qu'Al Capone, auteur d'une douzaine de meurtres, comme l'a écrit très sérieusement u ...
Dies ist ein ABO-Artikel
Jetzt für CHF 9.- im ersten Monat abonnieren
Nur für Neukunden, danach CHF 29.-/Monat und jederzeit kündbar.
Oder einfach einloggen…
Wenn Sie als Nicht-Abonnent noch keinen Account besitzen,
registrieren Sie sich jetzt und Sie können 5 Abo-Artikel gratis lesen.
Wenn Sie als Abonnent noch keinen Account besitzen,
registrieren Sie sich jetzt und Sie können sämtliche Artikel lesen.